[Yuran/Maxime] Suite du RP. Une balade en ville pour un Pizza

( https://pensionnat-hirigawa.forumactif.org/t30p30-les-3-camarades-de-chambre-enfin-reunis-alexius-yuran-maxime#219 )

Nous étions sortis du lycée et nous marchions déjà vers ARKS, ce dernier étant sur le chemin du Camion de Pizza. Il faisait frais, mais vu qu'à Hirigawa il n'y avait pas beaucoup de véhicule qui roulaient (ma moto, quelques voitures et un Tramway) l'air était assez pur. Nos rues était bien particulaires, elles était assez larges et tous les dix mètres il y avait un grand arc lumineux qui passait au dessus. C'était nos lampadaires. Le commerce que l'on cherchait était un peu plus loin, là on était dans une rue assez vide, un café et un fleuriste uniquement.

t'as pas froid? Lui demandais-je pour me coller à lui en marchant.

cet ile était magnifique avec toute ces lumiére!!!!

lorsuq'il me demanda si je n'avais pas froid j'avais comprit le sens de sa question je prit donc les devant pour me colé a luis..

-un peu, sa fait du bien de respiré de l aire pur...

il y avait plein de petite rue, elle était d un propre miraculeux, au bous d une dizaine de minute nous arrivions devant Arks le magasin de tatouage et perçing

-viens, luis di-je en entrant dans le magazin

dans le magasin il fesait chaud il y avait de tout, des emo, des gothique des lolité des jeun, des vieux... je me diriger vers la caisse

Je n'eu pas le temps de tendre un bras qui se collait déjà à moi. Je mis une main sur sa zone abdominale et une sur son épaule. Il y avait presque personne dans les rues. Le Week-end commençant le lendemain, certain avait invité leur petites amies comme l'autorisait le règlement de l'île. Ca faisait du bien de voir un peu de féminité de temps en temps. Après une bonne dizaine de minutes de marche, nous arrivions à ARKS, Yuran entra le premier, je le suivit après avoir mémoriser le numéro de téléphone dans mon portable. C'est grand pour un salon de ce genre non? lui dis-je tout bas à l'oreille. Il était vrai que ça faisait un moment que je n'étais pas entré dans ce genre d'endroit. autour de nous il y avait vraiment des personnes en tous genre, et même certaine demoiselle venue avec leur fiancés pour se faire tatouer. C'était mignon de les voir stresser. Je vis que Yuran était déjà à la caisse, quel rapidité. Je me dirigea vers lui et posa ma main sur son épaule pour lui signaler ma présence. Derrière le vendeur se trouvais une grille des tarif pour les tatouages, je songeais depuis un moment à allonger mes tatouages justement.

-bonjour, j eune homme

je m adresser a un jeune caissier

-dite moi est se que vous pouvais me perçer l arcade tout de suite?

le caissier me dit que oui c était possible, et que l opperation allé assez vite

-j en ai pour 5 minute, tu m attend?

Mh? Je n'avais pas tout entendu de la conversation, j'étais absorber à me demander combien coûterai le fait de faire continuer le tatouage jusqu'au main et d'en faire un au pied.

Oui oui vas-y je t'attends.

Je me posa sur une chaise avec mon téléphone pour calculer combien ça me coûterais. Je n'avais même pas entendu ce qu'il allait se faire percer, langue? arcade? Lèvre? Ce sera la surprise!

j entrais dans une petite sall et je m instaler sur la banquette le jeune mis ses gants et me massa le sourcil gauche afin de ne pas toucher les vaisseau.

il pri une aiguille courber et l enfonça et ressorti avec un petit blop, se n était pas du tout douloureux heureusement, puis il m enfila le perçing médical et je ressortit

-et voila pour vous!

je luis tendait des billet puis je rejoignez Max

-et voila je suis un gruyére!

Le calcul fini, je vis que j'en avais pour environ 1000 euros pour les bras, sans compter les extras... Soudain je vis mon homme revenir avec un piercing à l'arcade, cette dernière rougeâtre.

Yeah, ça te vas bien! lui dis-je en lui souriant et en l'embrassant. Ca tombe bien, je raffole du gruyère! Je ris avant de lui passer le bras sur l'épaule pour sortir.

Une fois de retour dans la rue, nous reprirent notre route vers le camion. Pour allez plus vite on prit une ruelle, puis une autre. Ces dernière étaient un peu moins éclairées que les grandes rues.

nous avions prit des petite rue...peu éclairé je me ressérait contre max

- on peut accélérais sil te plait ces rue me fon peur, j ai pas envie de tombé sur un désaxé...

je luis sérais fort le bras tremblant de froid et de peur....il m était arrivé de me faire agréssé c était une peur rationnelle

T'en fais pas mon ange ça m'étais sorti naturellement en le serrant contre moi Si quelqu'un essaie de te faire du mal, je lui casse la gueule. Je l'embrassa délicatement et alluma la lampe torche de mon portable pour y voir plus claire. On accéléra le pas, il tremblait, je retira ma veste et lui la mis sur les épaules avant de le recoller à moi. Je ne reconnaissais plus trop les ruelles. Il fallait revenir sur une rue principale pour que je me repère.

toujour sérré contre luis

-ouai faut qu'on retrouve la rue avant que je flippe,

dans la rue une poubelle tomba je fit un sursaut

-putin de poubelle de merde!

Je vis une toute petite ruelle avec au bout notre grande rue, et vu le passage, surement celle de la pizzeria!!

Viens par là! lui dis-je avant qu'une poubelle tombe et qu'il me saute au cou. Du calme c'est qu'une poubelle Il jura sur cette dernière avant que l'on rejoigne la grande rue. Un gars était dans la petite ruelle que l'on devant traversé, j'avais vraiment collé Yuran à moi en passant, il était ailleurs, les pupilles très dilatées... Un camé. Une fois dans la grande rue, je vis le camion un peu plus loin. Il était tenue par un homme de 32 ans, Frantzo, il était pas très grand et pas très musclé, mais avait beaucoup de charisme. C'était un bon ami à moi, il vivait sur l'île depuis quelques temps déjà, sa petite amie étant femme d'affaire elle rentrait le week-end évitant ainsi d'enfreindre le règlement. C'était marrant que les femmes ne puissent pas vivre sur l'île en semaine... Surement pour éviter que l'établissement devienne mixte...

quand je vis le camé je fut parcouru d un frisson intense, puis viens l odeur de la pizzeria j en baver presque, l homme qui tenait la pizza avait du charisme , certe mais se n était pas mon type, je m avançait:

-konbawa!

il était en train de préparé une pate a piza la fesant voltiger dans les aire c'était magnifique

On arriva devant le camion, Frantzo faisait encore le beau avec sa pâte à pizza, c'était drôle à voir.

Hay! C'est nous la commande téléphonique! dis-je en pointant les deux pizzas qui étaient mises au chaud. Je sorti de quoi les payer et posa les billets sur la planche pour qu'il encaisse.

Je prends les Pizza. Tu veux qu'on prenne un taxi? ou on rentre à pied par la grande rue.

-je paye le taxi ok? on a cas aller s assoir en attendant

je me dirigeais vers un bant aprés avoir remerçier le pizzayolo

-dit moi, depuis quand tu a tes tatouage?

il y avait des lumiére de toute les couleur même au sol on pouvais aperçévoir des petit lampion blanc qui s allumer et s'éteignaient , on aurais dit des étoil

Si tu y tiens... on prit les pizzas avant d'aller se poser sur un banc. Les rues étaient vraiment belles avec ces lumière et ces lampions. C'était même romantique tout ça. Le taxi allait pas tarder, ici ils étaient petit pour ne pas trop déranger les piétons.

Mes tatouages? Cinq ans environs, j'aimerai bien les rallonger sur mes bras, et peut-être bien m'en faire un sur le pied, je trouve ça sexy. dis-je en riant légèrement, c'est vrai que j'aimais bien ça, les tatouages aux pied.

-ok c est cool les tribal sa te va bien en plus

mon ventre gronder comme un orage je luis pris une boite je l ouvrais c était bien celle a la chévre, les part étaient prés découpé j en prix une et croqua dedans

- Mmmm....quest ce que c'est bon

réalisant que ma frase pouvais porter a confusion je rougis

Je pris un fou rire quand il exprima son plaisir à manger sa pizza. Je me pencha au dessus de lui pour prendre un petit bout de fromage qui c'était posé au dessus de sa lèvre, pour le porter à ma bouche.

Pas mal... Mais j'ai connu meilleur lui dis-je en le regardant avec un regard qui voulait tout dire. Je n'eut pas le temps de prendre une part de la mienne que notre taxi arrivait déjà. On allait pouvoir rentrer et se mettre au chaud, l'un contre l'autre devant un film pour manger.

-tu es sur qu'il m en reste pas encore un peut sur la levre?

apeine avais je dit sa que le taxi arrivé nous montame dedans en direction d hirigawa...je pense que la nuit aller etre fructueuse