ouvertur des plaie...pleur et consolation [max&Yuran -18]

En lui suivant, je le vis accélérer le pas. Arrivé aux douches, je me cacha derrière la porte alors qu'il se déshabillait pour entrer dans la douche. Une fois Yuran dans la cabine je m'approcha, j'ouvris la bouche pour lui parler, savoir si ça allait quand je vis quelques gouttes de sans dans le pantalon. Je retira alors mon haut et mon bas, gardant inconsciemment mon boxer, et ouvris la douche, découvrant mon prince, les jambes ensanglantées, concentré sur des plaies aux cuisses.

Qu... C'EST QUOI CE BORDEL YU?!

Je resta choqué face à ce que je voyais, en temps normal, j'aurais vu son visage, son corps, sa nudité parfaite. Là je voyais du sang, des plaies, de la crainte. Il me cria de sortir, au lieu de ça je ferma la porte

Réponds! Quand?! pourquoi?! c'est quoi cette merde que tu t'es fais là?! lui demandais-je étant à quelques centimètres de son visage, j'étais inquiet ça ne me plaisait vraiment, mais VRAIMENT pas!

J'étais rouge de colère et d'inquiétude, les yeux brillant de stress.

...

-je fait comme si tout était normale...mais dériere mon sourir, mon regard j ai mal et je doute sans cesse qu'on me délaisse ou qu'on me déteste...j ai besoin de me tester je suis pret a risqué le peut qu'il me reste... ses entail serve a faire coulé ma rage...c est pour ça que je me blesse...j ai mentis j aimerais qu'on m'aide que quelqu'un me tende la main, même si je suis déjà loin...

Je ne savais pas quoi faire... j avais peur, je m en voulez, je luis en voulait ...pourquoi...

Il parlait un peu bizarrement, il allait mal j'avais déjà retenu ça... Je le pris dans mes bras, tant pis pour le sang qui lui restait sur les jambes, il sera mieux sur les miennes.

Qui délaisserai un homme aussi parfait et sensible que toi? lui demandais-je en nous appuyant contre le mur doucement. Je ne voulais pas le savoir comme ça.

Tu sais. Je le regarda dans les yeux Tu peux me parler honnêtement. Je suis censé être ton confident, ton ami, ton petit ami, ton psy'... Si quelque chose ne va pas faut me le dire au lieu de l'intérioriser...

Je soupira, je me posa quelques secondes si je devais l'embrasser, non. Je me retira du mur et sorti en cherchant une serviette pour me sécher. L'eau coulait, j'imaginais la douleur qu'il devait ressentir quand l'eau touchait les plaies. Je me laissa glisser le long du mur, pourquoi? que ne pouvait-il pas dire? pourquoi me le cacher? je ne supportai pas cette idée, j'avais mal intérieurement. Sans réponse, je ne pourrais même plus supporter sa présence psychologiquement... Et pourtant j'aurais encore plus envie d'être avec lui. Ce paradoxe mental me tourmentai déjà.

En sortant il m'avait posé un baisé sur la joue que j'avais essayé d'esquivé, vexé.

Quelques minutes plus tard il sortait pour se sécher. Je me redressa et pris son bas pour lui poser sur le lavabo avant de lui tourner le dos et me coller à la porte de sortie. J'étais vraiment, vraiment mal, énervé, vexé, je ne comprenais pas pourquoi.

Bouges. lui dis-je un peu froidement pour cacher ma voix légèrement tremblante.

Arrivé à la chambre avant lui, je me mis sur mon lit, je pris mon portable et mis de la musique dans mes écouteurs. Du bon rock! Sur mon portable je discutais et cherchais un nouvel ordi, l'autre l'avais jeté par la fenêtre. Certaines offres étaient cool, mais je savais pas, c'était un peu cher parfois..

Yuran arriva quelques minutes plus tard, je ne voulais pas lui parler tout de suite, mais je ne voulais pas lui tourner le dos, alors je resta sur le dos les yeux sur le portable sans le calculer.

Je le vis me regardé, je fis comme si je n'avais rien vu du tout. Il se mit en calçon, et je vis du coin de l'oeil qu'il se mit à chanter une chanson que je n'entendais pas. Dommage car il chantait bien. Quelques minutes après il se coucha dos à moi, c'était dur, je voulais aller vers lui et le prendre dans mes bras, après tout j'avais mes secrets, il avait les siens. Et puis il allait déjà assez mal.

Je retira mes écouteurs et me leva
Yuran... Lui dis-je en m'approchant de lui et m'agenouillant une fois vers son lit. Je... Je posa une main sur lui et ma tête dans sa nuque. Je suis désolé... dis-je, m'évitant ainsi le "je t'aime" que je n'arrivais pas à lui dire.